Dimanche 28 août 2022

Après la morte-eau de 2021, un raz de marée de participants cette année pour cette course qui réserve de belles satisfactions assorties de petits regrets. Comme souvent toute compétition sportive. D’abord, c’est la satisfaction de se retrouver avant la 2000ème place sur environ 3000 classés. La seconde : de ne jamais avoir mis pied à terre, du 1er au dernier kilo. La petite déception : avoir manqué de peu de passer sous la barre des 2 h. Mais quand on réalise un quart d’heure de moins que l’an dernier, ça atténue un peu l’amertume. Et ça encourage pour l’an prochain.

Ouf ! On a échappé à la canicule même s’il était temps de finir, surtout quand on sent le soleil tomber sur ses épaules à 8 km de l’arrivée, lors du passage jamais très agréable des petits sentiers de Saint-Coulomb. On est alors heureux d’en sortir et de retrouver les grandes largeurs de bitume même s’il faut se coltiner pour cela le long faux-plat du Lupin, avant-dernière grosse difficulté avant d’attaquer le « roquet » du Minihic. Donc, beaucoup de coureurs sur l’épreuve. A tel point qu’il a fallu atteindre le km 3 pour avoir enfin un peu d’espace libre devant soi et éviter d’avoir à faire du slalom entre les coureurs un peu plus lents que soi (oui, il y en a !).

La satisfaction, c’est aussi de croiser du monde sur les bords de course surtout dans les montées comme au Minihic avec une belle délégation de Saint-Benoît-des-Ondes (merci pour les encouragements !) Et à l’arrivée, les commentaires de Dédé et de Jean-Luc qu’on a toujours plaisir à revoir et à entendre.

Bref, une belle matinée sportive qui permet de s’étalonner sur le futur Marathon Vert de fin octobre, nouvelle édition. Au moins, celui-là, on en est sûr :
ce sera du plat !

Ph. D.