DES BOUCHONS MAIS PAS D’ITINÉRAIRE BIS
Dimanche 16 avril 2023
Près du 10 minutes pour le km 2 (Roazhon Park), plus de 15 minutes pour le km 4 (Mabilay), autour de 9 minutes pour le km 7 (Whoorks)… La raison : des embouteillages et des passages au compte-gouttes dans les travées et les escaliers. Dans ces conditions, difficile de réaliser un temps correct au final de ces 25 km (et pas 24 comme annoncés). Et bien sûr pas moyen de forcer ou de contourner les masses de coureurs qui s’agglutinent aux entrées.
De cet épisode 5 du Rennes Urban Trail, on retiendra le passage corsé du lycée Saint-Vincent qui fait suite à une belle escapade ensoleillée et roulante plaine de Baud ; l’entrée dans un second lycée, Saint-Martin (à quand, au fait, les passages dans les lycées publics ?) ; les traversées de l’Hôtel-Dieu, de la grande halle Oberthur et du parc des Tanneurs ; les découvertes des théâtres de la Paillette, du Cercle Paul-Bert et de l’ADEC… Restent les marches. Toujours présentes et oppressantes. Aussi ardues à escalader que périlleuses à dégringoler. Mais elles font partie du « fond de commerce » de l’Urban trail rennais.
Comme ses milliers de coureurs réunis dans le même effort. Et ces centaines de bénévoles mobilisés pour faciliter leur progression dans un environnement urbain pas toujours évident.
Ph. D.